Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Gérard Cherpion
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de monsieur le député Jean-Jacques Gaultier
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Franck Marlin
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de madame la députée Nadia Ramassamy
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Martial Saddier
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Arnaud Viala

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Le mode de recours à un mode amiable de règlement des différends (MARD) ne doit pas constituer une privatisation du service public de la justice.

En ce qui concerne les obligations des services en ligne et les droits des utilisateurs (obligation de certification, encadrement des procédures numérisées d’arbitrage en permettant aux parties de s’opposer à la voie numérique), cet amendement de suppression entend protéger les justiciables d’une évolution néfaste à moyen terme, même s’il est à noter que le Sénat a d’ores et déjà amélioré cet article

En effet, le Gouvernement proposait initialement de ne pas rendre la certification obligatoire des services en ligne, dont il faut rappeler qu’ils seraient payants.

Cela laisse à penser que dans l’application concrète de la loi, le Gouvernement privilégiera des mises en œuvre les plus proches de l’esprit originel de son projet de loi.

Sur le traitement algorithmique des affaires, par exemple, il sera ainsi permis de mécaniser une justice qui deviendrait à la chaîne.

Or, la conciliation est une des fonctions premières d’un juge dans une justice équilibrée, et ce quelque soit le domaine et la juridiction.