Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pirès Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

À l’alinéa 3 après le mot :

« européenne »

rédiger la fin de l’alinéa ainsi :

« , de l’expérience professionnelle acquise ainsi que des diplômes et qualifications professionnelles s’inscrivant dans un parcours de formation intégrant ceux obtenus ou en cours d’acquisition au Royaume-Uni à cette même date ».

Exposé sommaire

Cet amendement proposé par le groupe Socialistes et apparentés propose de revenir à la rédaction plus précise du Sénat concernant le parcours de formation.

En effet, la rédaction initiale faisait directement référence au parcours de formation et élargissait donc la reconnaissance. Elle prenait en compte les diplômes et qualifications qui pourraient être acquis après la date de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne mais dont la formation ne débuterait qu’après cette date.

Il s’agit donc d’assurer que la cohérence de l’ensemble du parcours de formation ne sera pas remise en cause par le fait qu’un diplôme supplémentaire s’inscrivant dans la suite des études ne se verrait pas reconnu car la formation n’aurait débuté qu’après la date du retrait.