Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Thierry Michels
Photo de madame la députée Sandra Marsaud
Photo de madame la députée Bérangère Abba
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de madame la députée Sophie Beaudouin-Hubiere
Photo de monsieur le député Grégory Besson-Moreau
Photo de madame la députée Aude Bono-Vandorme
Photo de monsieur le député Bertrand Bouyx
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Jacqueline Dubois
Photo de monsieur le député Raphaël Gérard
Photo de madame la députée Carole Grandjean
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député Bruno Fuchs
Photo de madame la députée Anne Genetet
Photo de monsieur le député Antoine Herth
Photo de madame la députée Sandrine Josso
Photo de madame la députée Fadila Khattabi
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de madame la députée Marion Lenne
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de madame la députée Marjolaine Meynier-Millefert
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de monsieur le député Benoit Simian
Photo de monsieur le député Bertrand Sorre
Photo de madame la députée Marie Tamarelle-Verhaeghe
Photo de madame la députée Agnès Thill
Photo de madame la députée Frédérique Tuffnell
Photo de madame la députée Marie-Christine Verdier-Jouclas
Photo de madame la députée Corinne Vignon
Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi

À l’alinéa 2, après le mot :

 « compte »

insérer le mot :

« impérative ».

Exposé sommaire

Cet amendement vise à s’assurer d’une prise en compte impérative, pour l’ouverture et la détermination des droits sociaux, des périodes d’assurance, d’activités ou de formation professionnelle exercées ou effectuées au Royaume-Uni.

Le calcul des prestations sociales ne peut reposer que sur des périodes nationales : il ne serait pas équitable qu’une personne ayant été en activité et ayant cotisé au Royaume-Uni perde le bénéfice de prestations sociales lorsqu’elle quitte le Royaume-Uni pour s’établir en France. De la même manière, il ne serait pas équitable non plus qu’un ressortissant français, pour la seule raison d’avoir été en activité au Royaume-Uni perçoive une prestation d’un moindre montant.

Par ailleurs, ces citoyens français partis au Royaume-Uni voyaient leurs droits protégés par le règlement européen n°883/2004 du 29 avril 2004 portant sur la coordination des systèmes de sécurité sociale. En cas de no deal, ils se retrouveraient dans une situation qu’ils n’avaient pas prévue. Ces citoyens sont tributaires du Brexit mais ne peuvent en aucun cas être responsables et punis.

Cette prise en compte doit bien évidemment se faire dans un délai raisonnable pour une effectivité des droits des citoyens français.