- Texte visé : Projet de loi pour une école de la confiance, n° 1481
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Commission des affaires culturelles et de l'éducation
I. – À la première phrase de l’alinéa 10, substituer au mot :
« douze »
le mot :
« treize » ;
II. – Après l’alinéa 13, insérer l’alinéa suivant :
« 4° (nouveau) Un élu lycéen au conseil national de la vie lycéenne. »
Le CNESCO est aujourd’hui en charge d’évaluer l’organisation et les résultats de l’enseignement scolaire en toute indépendance. Il produit de la réflexion dans de nombreux domaines comme l’enseignement professionnel, la mixité sociale, le décrochage ou le redoublement.
Il est actuellement piloté par un conseil composé de 4 parlementaires, 2 membres du CESE et 8 personnalités choisies pour 6 ans. Aucun·e représentant·e des lycéen.nes n’y figure alors qu’ils sont au coeur même de ces politiques scolaires. Outre le caractère autocratique du mode de nomination de ses membres, la nouvelle formule du CNESCO, le Conseil d’évaluation de l’école, ne prévoit toujours pas de présence d’élu.e.s lycéen.nes.
Nous pensons donc logique qu’une ou un élu.e au CNVL, élu.e par ses pairs, puisse siéger au Conseil d’évaluation de l’Ecole et ainsi participer à l’évaluation en donnant son avis sur les différentes politiques scolaires menées.