Fabrication de la liasse

Amendement n°CL132

Déposé le lundi 17 décembre 2018
Discuté
Photo de monsieur le député Guy Bricout

Guy Bricout

Membre du groupe UDI, Agir et Indépendants

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Photo de monsieur le député Vincent Ledoux

Vincent Ledoux

Membre du groupe UDI, Agir et Indépendants

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Photo de monsieur le député Stéphane Demilly

Stéphane Demilly

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Photo de madame la députée Béatrice Descamps

Béatrice Descamps

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Photo de monsieur le député Meyer Habib

Meyer Habib

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Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde

Jean-Christophe Lagarde

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Photo de madame la députée Laure de La Raudière

Laure de La Raudière

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Photo de monsieur le député Michel Zumkeller

Michel Zumkeller

Membre du groupe UDI, Agir et Indépendants

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Photo de madame la députée Frédérique Dumas

Frédérique Dumas

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Photo de madame la députée Nicole Sanquer

Nicole Sanquer

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Photo de monsieur le député Christophe Naegelen

Christophe Naegelen

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Après l’alinéa 13, insérer l’alinéa suivant :

« III ter. – Le dernier alinéa de l’article 41 du code de procédure pénale est complété par les mots : « en cas de crime ou de délit ayant entrainé la mort, le procureur recourt à une de ces associations afin qu’il soit apporté une aide psychologique aux parents, conjoint, partenaire lié par un pacte civil de solidarité, frère et sœur de la victime dans les plus brefs délais ». »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à élargir la prise en charge psychologique aux proches des victimes en cas de crime ou délit ayant entrainé la mort. Ceci pour éviter par exemple que ne se reproduise un cas comme celui que nous avons connu dans le Nord où un enfant victime d’un accident de la route - aux cotés de sa sœur qui y a trouvé la mort - n’a été pris en charge psychologiquement que 3 mois après les faits.