Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Xavier Breton
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
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Photo de monsieur le député Rémi Delatte
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Photo de madame la députée Annie Genevard
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Photo de monsieur le député Philippe Gosselin

Supprimer les alinéas 1 à 6.

Exposé sommaire

Il est important de maintenir la compétence judiciaire en matière de filiation. Un tel acte établit la filiation d’un enfant.

 Le juge a un pouvoir d’appréciation que le notaire n’a pas.

A ce titre, par exemple, le juge peut ordonner une enquête. D’une façon générale, le notaire n’est pas un juge. Il ne peut donc pas décider en conviction que la filiation déclarée est la filiation véritable de l’enfant et il ne peut pas apprécier la qualité du témoignage de ceux qui contribuent à prouver la possession d’état. Surtout, en effet, la possession d’état doit être prouvée. Le notaire ne peut pas apprécier les preuves ni les évaluer, ce n’est pas son rôle.

Le gouvernement initie dans cette loi un mouvement de déjudiciarisation très préjudiciable aux justiciables.