Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Didier Le Gac
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de monsieur le député Mounir Belhamiti
Photo de monsieur le député Éric Bothorel
Photo de monsieur le député Olivier Damaisin
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de monsieur le député Jean-Charles Larsonneur
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Annaïg Le Meur
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de madame la députée Laurence Maillart-Méhaignerie
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de madame la députée Valérie Oppelt
Photo de monsieur le député Hervé Pellois
Photo de monsieur le député Gwendal Rouillard
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut

Après le 3° de l’article L. 442‑5‑1 du code de l’éducation, il est inséré un 4° ainsi rédigé :

 « 4° À l’inscription dans un établissement scolaire proposant un enseignement bilingue en langue française et langue régionale. »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à créer un motif dérogatoire supplémentaire à l’obligation de participation financière d’une commune pour la scolarisation d’enfants demeurant sur son territoire mais inscrits dans un établissement scolaire privé sous contrat dispensant un enseignement en langue régionale d’une autre commune.

Dans l’état actuel de la législation, le suivi d’une scolarité dans un établissement de ce type ne constitue pas un motif de dérogation.

De ce fait là, il résulte que les maires des communes de résidence ne sont pas tenus de participer aux frais de scolarisation des enfants inscrits en classe bilingue.

Cette situation est préjudiciable au bons déroulement de la scolarisation d’enfants en classe bilingue et est source de contentieux entre familles et communes et éventuellement entre communes de résidence et communes d’accueil.