Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Éric Alauzet
Photo de madame la députée Albane Gaillot
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de monsieur le député Fabien Gouttefarde
Photo de monsieur le député Éric Girardin
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de madame la députée Laurence Maillart-Méhaignerie
Photo de madame la députée Cathy Racon-Bouzon
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de monsieur le député Anthony Cellier
Photo de madame la députée Fadila Khattabi
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de monsieur le député Xavier Roseren
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de madame la députée Anne Brugnera
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de monsieur le député Olivier Gaillard
Photo de madame la députée Laurianne Rossi
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Delphine Bagarry
Photo de monsieur le député Dominique Da Silva
Photo de madame la députée Fannette Charvier
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Valérie Gomez-Bassac
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de monsieur le député Adrien Morenas
Photo de madame la députée Caroline Abadie

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

L’amendement vise à supprimer cet article ajouté au Sénat contre l’avis du gouvernement qui abroge l’interdiction de fabriquer sur le territoire français des produits phytosanitaires non-autorisés en Union Européenne et étant destinés à être commercialisés dans des pays situés hors de l’Union européenne où leur utilisation est autorisée.

Cette interdiction, adoptée dans la loi Egalim il y a tout juste quelques mois, répond à des exigences environnementales et éthiques de base. Elle interdit que soient produits sur le sol français des produits reconnus comme nocifs dans l’Union Européenne, refusant ainsi que ces productions françaises viennent dégrader les terres de pays non-membres et poser des dangers pour leurs populations.

De plus, la protection de l’environnement et l’amélioration de la qualité de la nourriture sont des enjeux mondiaux et non uniquement français.