Fabrication de la liasse
Rejeté
(mardi 12 mars 2019)
Photo de monsieur le député Jean-Louis Touraine
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de madame la députée Anne Blanc
Photo de madame la députée Aude Bono-Vandorme
Photo de monsieur le député Julien Borowczyk
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de madame la députée Sylvie Charrière
Photo de madame la députée Mireille Clapot
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de madame la députée Typhanie Degois
Photo de madame la députée Audrey Dufeu
Photo de madame la députée Françoise Dumas
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de madame la députée Carole Grandjean
Photo de monsieur le député Didier Martin
Photo de monsieur le député Didier Paris
Photo de monsieur le député Hervé Pellois
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de madame la députée Marie-Pierre Rixain
Photo de monsieur le député Thomas Rudigoz
Photo de monsieur le député Benoit Simian

Après le mot :

« antérieur »

rédiger ainsi la fin de l’alinéa 4 :

« , notamment dans le cadre d’un portail santé ou de licences comportant une mineure santé, et à la réussite des épreuves. Les modalités de construction de ce portail santé et d’accès par des licences à mineure santé sont déterminées par décret en Conseil d’État. »

Exposé sommaire

Le présent amendement vise à préciser les parcours de formation antérieurs qui rendront éligibles aux études de médecine. Il permet d’introduire dans le code de l’éducation le portail santé comme parcours de formation. La Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche avait elle-même repris, dans son discours, la terminologie de « portail santé », appuyant ainsi l’argument de le nécessité de mettre en place un tel dispositif.

Si cet amendement ne venait pas à être adopté, les seuls parcours qui seraient alors possibles seraient les licences et les classes préparatoires. Il n’est pas souhaitable de remplacer l’actuel premier cycle (tout ou en partie) par un cycle de licence dite « santé ». En effet, cela risquerait de se traduire par une dilution de l’apprentissage des compétences, par impossibilité d’enseignement professionnel au contact des patients, et par un conséquent, un allongement de la durée des études pour garantir que les compétences des futurs diplômés soient au moins équivalentes à celles conférées par la formation actuelle.