Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Guillaume Larrivé
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Olivier Dassault
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de madame la députée Nadia Ramassamy
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de madame la députée Nathalie Bassire

À la cinquième phrase de l’alinéa 3, après le mot :

« ruraux »,

insérer les mots :

« , de montagne ».

Exposé sommaire

La fracture médicale est une réalité pour un nombre croissant de Français. Le manque de médecins dans de nombreuses communes françaises résulte d’un recrutement trop restreint et d’une concentration dans les zones les plus riches. Entre 2007 et 2016, le nombre de généralistes en France a diminué de 8,7 %. Plus de trois millions de personnes peinent désormais à trouver un médecin traitant.

Il convient de lutter beaucoup plus activement contre la désertification médicale.

Il est nécessaire, pour mieux définir les objectifs de formation, de mieux appréhender les besoins en formation. D’une régulation de la démographie médicale par la tension, il nous faut passer à une organisation de la formation au plus près des lieux d’exercice sur la base d’un diagnostic partagé par les acteurs.

Les objectifs de formation devraient donc être évalués en tenant compte de l’ensemble des lieux de stage universitaires et non-universitaires, et des demandes (en effectifs et en compétences) des territoires.

Cet amendement vise donc à bien intégrer ces besoins, au moyen d’une méthodologie adaptée.