Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Pascal Brindeau
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de monsieur le député Pierre-Yves Bournazel
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de monsieur le député Paul Christophe
Photo de monsieur le député Stéphane Demilly
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de madame la députée Frédérique Dumas
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député Meyer Habib
Photo de monsieur le député Antoine Herth
Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde
Photo de monsieur le député Vincent Ledoux
Photo de madame la députée Patricia Lemoine
Photo de madame la députée Lise Magnier
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de madame la députée Maina Sage
Photo de madame la députée Nicole Sanquer
Photo de monsieur le député Francis Vercamer
Photo de monsieur le député André Villiers
Photo de monsieur le député Michel Zumkeller

Supprimer l’alinéa 11.

Exposé sommaire

L’article 7 crée le projet territorial de santé et précise que les projets des communautés professionnelles territoriales de santé sont soumis à l’approbation du directeur général de l’agence régionale de santé. Ce dernier se prononce au regard des objectifs du projet régional de santé. 

Cette approche ne tient pas compte des réalités des prises de décisions au niveau local. Les projets territoriaux de santé sont en effet le fruit d’un travail collaboratif des différents acteurs locaux de santé. Ils se réalisent donc forcément en lien avec les délégations territoriales de l’ARS et ont donc vocation à être conformes aux dispositifs des projets régionaux de santé. 

En l’état, soumettre ces projets à l’approbation du directeur de l’ARS reviendrait à centraliser et donc étatiser ces projets locaux, une approche contradictoire avec l’esprit affiché du projet de loi qui vise au contraire à s’appuyer sur les initiatives et les dynamiques des territoires. 

Nous proposons donc la suppression de cette obligation.