Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Valérie Gomez-Bassac
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de madame la députée Danièle Hérin
Photo de monsieur le député Éric Girardin
Photo de madame la députée Florence Granjus
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Frédérique Tuffnell
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de madame la députée Anne Brugnera
Photo de monsieur le député Cédric Roussel
Photo de monsieur le député Sébastien Cazenove
Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman

Après l’alinéa 17, insérer l’alinéa suivant :

« Toute personne qui souhaiterait ouvrir et disposer de son espace numérique de santé mais qui en serait empêchée car ne disposant pas des compétences techniques informatiques nécessaires peut désigner une personne tierce de confiance responsable d’accéder et de gérer ses données de santé dans son espace numérique de santé. »

Exposé sommaire

En France, 13 millions de personnes sont considérées comme en situation d’illectronisme, c’est-à-dire qu’elles sont en difficulté pour utiliser les outils informatiques et pour effectuer une démarche administrative en ligne.

Cet amendement vise donc à encadrer une procédure de procuration qui pourrait être mise en place par une personne qui souhaiterait ouvrir et gérer un espace numérique de santé mais qui n’en aurait pas la capacité technique.

Le mandant donnerait ainsi procuration à un mandataire de confiance pour gérer ses données sur son espace numérique de santé. Il pourra ainsi profiter du dispositif même s’il ne possède pas les compétences nécessaires à la gestion d’un tel espace, dans une perspective d’inclusion numérique.