Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
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Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
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Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pirès Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

Substituer aux mots :

« quarante députés ou quarante sénateurs »

les mots :

« un groupe parlementaire à l’Assemblée nationale ou au Sénat ».

Exposé sommaire

Cet amendement vise à ouvrir la saisine du Conseil constitutionnel par un groupe parlementaire à l’Assemblée nationale ou au Sénat.

La configuration actuelle des assemblées parlementaires est révélatrice de la grande diversité des courants d’opinion qui les traversent, ainsi qu’en témoignent les nombres de groupes constitués à l’Assemblée comme au Sénat.

A cet égard, il apparaît essentiel d’offrir à chaque groupe la possibilité de saisir le Conseil constitutionnel, afin que ces groupes puissent faire valoir leurs arguments contre les projets ou propositions adoptés par le Parlement.

Non seulement cette mesure renforcerait les droits de l’opposition et in fine le Parlement mais de surcroit un État de droit n’a rien à perdre à ouvrir le plus largement possible les procédure destinées à assurer le respect de la Constitution.