Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Fabien Roussel
Photo de monsieur le député Jean-Paul Dufrègne
Photo de madame la députée Huguette Bello
Photo de monsieur le député Moetai Brotherson
Photo de monsieur le député Alain Bruneel
Photo de madame la députée Marie-George Buffet
Photo de monsieur le député André Chassaigne
Photo de monsieur le député Pierre Dharréville
Photo de madame la députée Elsa Faucillon
Photo de monsieur le député Sébastien Jumel
Photo de madame la députée Manuéla Kéclard-Mondésir
Photo de monsieur le député Jean-Paul Lecoq
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Nilor
Photo de monsieur le député Stéphane Peu
Photo de monsieur le député Gabriel Serville
Photo de monsieur le député Hubert Wulfranc

I. – À l’alinéa 12, substituer au montant : « 750 », le montant : « 500 ».

II. – À l’alinéa 13, substituer au montant : « 25 », le montant : « 20 ».

Exposé sommaire

L’article premier du présent projet de loi prévoit de taxer les entreprises, au titre des services numériques fournis, d’une part, au niveau mondial à partir de 750 millions d’euros de chiffres d’affaires, et d’autre part, au niveau national à partir de 25 millions de chiffres d’affaires.

Compte tenu des enjeux fiscaux et économiques contemporains liés aux problématiques d’optimisation et d’évasion fiscales, de la faible étendue de l’assiette de cette et in fine de son rendement très limité (à peine 400 et 500 millions d’euros brut), d’importants ajustements doivent être apportés pour rendre le dispositif proposé véritablement opérationnel.

En fixant le montant de chiffre d’affaires en France et à l’échelle internationale,  respectivement à 20 et 500 millions d’euros, comme le propose cet amendement, l’étendue de cette taxe serait ajustée et renforcée.