Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Florence Granjus
Photo de monsieur le député Éric Girardin
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de madame la députée Françoise Dumas
Photo de madame la députée Sira Sylla
Photo de madame la députée Aurore Bergé
Photo de madame la députée Nadia Hai
Photo de monsieur le député Didier Baichère
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de monsieur le député Romain Grau
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de madame la députée Pascale Fontenel-Personne

Compléter cet article par l’alinéa suivant :

« L’orientation vers les acteurs en mesure d’assurer cet accompagnement doit être renforcée lorsqu’il s’agit d’un mineur de 15 ans ou d’une personne particulièrement vulnérable en raison de son âge, d’une maladie, d’une infirmité, d’une déficience physique ou psychique ou d’un état de grossesse. »

Exposé sommaire

Les répercussions de la haine sur internet, qu’il s’agisse d’injure, de diffamation ou de harcèlement, peuvent avoir un impact fort et déstabilisant sur la victime du contenu haineux.

L’article 3 s’assure que les victimes et les proches des victimes soient informés des moyens mis à leur disposition pour ester en justice, de la possibilité d’être aidés dans leur démarches et de l’accès à des soutiens et suivis de toutes sortes.

Le présent amendement propose de renforcer l’accompagnement des victimes de contenu haineux lorsqu’il s’agit de personnes particulièrement vulnérables.

Les contenus haineux par le biais des plateformes numérique sont souvent subis par la victime dans la solitude et l’isolement, ce qui accentue le préjudice et les conséquences. C’est pour cette raison qu’il convient de renforcer et de s’assurer qu’un accompagnement ait lieu pour ces personnes.