Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
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Photo de madame la députée Annie Chapelier
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Photo de madame la députée Catherine Fabre
Photo de madame la députée Valéria Faure-Muntian
Photo de madame la députée Pascale Fontenel-Personne
Photo de madame la députée Valérie Gomez-Bassac
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de madame la députée Danièle Hérin
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Frédérique Lardet
Photo de madame la députée Annaïg Le Meur
Photo de monsieur le député Christophe Lejeune
Photo de monsieur le député Jacques Marilossian
Photo de monsieur le député Didier Martin
Photo de monsieur le député Rémy Rebeyrotte
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de monsieur le député Guillaume Vuilletet

« Les missions exercées au titre de la fonction de maître d’apprentissage doivent faire l’objet d’une prise en compte dans le cadre de la validation des acquis de l’expérience de l’agent ayant œuvré à ce dispositif.

« La reconnaissance de cette fonction passe également par la voie indiciaire.

« Les modalités d’application de ces conventions annuelles sont définies par décret. »

Exposé sommaire

Les administrations publiques peuvent recourir à l’apprentissage depuis la loi n° 92-675 du 17 juillet 1992. D’une durée comprise entre un et trois ans, l’apprentissage participe à la formation des jeunes âgés de 16 à 25 ans tout en renforçant leur employabilité. Pour les administrations, il présente de nombreux avantages : leur fournir un vivier d’agents dans le cadre d’une gestion prévisionnelle des ressources humaines ; leur permettre de valoriser l’action publique en général et le savoir-faire des maîtres d’apprentissage en particulier ; contribuer à la formation des jeunes et à la lutte contre le chômage.
 
Cependant, comme en témoigne les rapports de l’IGAS, du Sénat ou du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale, l’apprentissage demeure encore faible dans la fonction publique et en deçà des objectifs fixés par les gouvernements successifs.
 
Afin de développer l’apprentissage, il semble essentiel que la fonction de maître d’apprentissage soit mieux reconnue. Un temps consacré à l’accompagnement de l’apprenti devrait être clairement défini. Comme une sorte de retour, son investissement devrait lui permettre, à son tour, d’une validation diplômante de son action et les mesures liées à la VAE s’inscrivent pleinement dans ce contexte, notamment pour ceux qui, ultérieurement, souhaitent effectuer des missions d’enseignement.
 
Ces propositions résultent d’un rapport intitulé l’apprentissage en alternance dans les collectivités locales : constats et propositions d’évolution par le Conseil Supérieur de la Fonction Publique Territoriale.