Fabrication de la liasse
Rejeté
(mardi 21 mai 2019)
Photo de monsieur le député Éric Ciotti
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de madame la députée Nadia Ramassamy
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Guy Teissier
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de monsieur le député Patrice Verchère

Avant le 31 décembre 2019, le Gouvernement remet un rapport au Parlement faisant état de
l’avancement du paiement des heures supplémentaires effectuées par les personnels de la police
nationale.

 

 

Exposé sommaire

Conséquence directe de l’augmentation importante de l’activité opérationnelle des services, au
cours des trois dernières années, le stock d’heures supplémentaires au sein de la police nationale a
évolué de manière constante, pour atteindre 24 millions, soit une augmentation de l’ordre de 20%
depuis 2014. Selon la commission d’enquête relative à l’état des forces de sécurité intérieure du
Sénat de juin 2018, cela représente, en moyenne, 158 heures par agent.
Parallèlement, ce stock d’heures supplémentaires constitue, selon les propos du directeur général de
la police nationale, une véritable « épée de Damoclès opérationnelle », car ces congés sont pris
avant le départ à la retraite, ce qui peut priver le service d’un fonctionnaire pendant une année
entière sans qu’il soit remplacé. L’activité opérationnelle n’étant pas appelée à diminuer
prochainement, leur paiement permettrait de remédier à cette difficulté