Fabrication de la liasse
Non soutenu
(jeudi 13 juin 2019)
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de monsieur le député François Ruffin

Substituer aux alinéas 2 et 3 les trois alinéas suivants :

«

 20192020202120222023

Dépenses totales
2 9833 2822 9872 8803 080

 

« La part affectée au financement des infrastructures et aménagements des modes actifs, en particulier cyclables, est identifiée et s’élève à 8 % du budget.

« Les dépenses prévues au titre de 2023 s’inscrivent dans la perspective d’une enveloppe quinquennale de 15,8 milliards d’euros environ sur la période 2023‑2027. »

Exposé sommaire

Les crédits prévus ne permettent pas de répondre aux besoins d’entretien et de modernisation des infrastructures existantes et sont en deçà des besoins prévus pour le scénario 2 du rapport du COI (environ 150 millions par an). Ce budget est donc incohérent avec les infrastructures prévues dans l’exposé des motifs. Cet amendement vise à le mettre en cohérence.

Par ailleurs, on ignore toujours comment seront apportés à l’Afitf les 500 millions d’euros – au moins – qui lui manqueront à partir de 2020. Nous proposons de gager cette augmentation des crédits sur la hausse de la taxe payée par les sociétés concessionnaires d’autoroutes.

Dans le détail, le rapport annexe prévoit 50 millions annuels sur 7 ans pour les modes actifs,  soit 0,7 € par habitant / an alors que le besoin est estimé à 200 millions annuels. Dans les pays du Nord de l’Europe c’est 4 € par habitant par an. Nous souhaitons donc que 8 % de ces dépenses soient affectées au financement des modes « actifs ».