- Texte visé : Projet de loi, modifié par le Sénat, pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris et instituant une souscription nationale à cet effet, n° 1980
- Stade de lecture : Nouvelle lecture
- Examiné par : Commission des affaires culturelles et de l'éducation
Supprimer l’avant dernière phrase de l’alinéa 3.
Si les cosignataires de cet amendement soutiennent la mention à la Charte de Venise dans le projet de loi ajoutée par les sénateurs et sénatrices, il n’appartient pas aux parlementaires de décider si oui ou non la restauration doit se faire à l’identique. Il convient de laisser les spécialistes du patrimoine, les architectes, les médiévistes etc... le soin d’adopter les meilleurs techniques de reconstruction, quand bien même l’état visuel de Notre-Dame est amené à évoluer. Étant opposés aux dérogations et à toutes les mesures d’exception pour Notre-Dame, les cosignataires considèrent que les garanties sont suffisantes dans la loi pour assurer une reconstruction de qualité sans dénaturer la cathédrale.