Fabrication de la liasse
Non soutenu
(mercredi 11 septembre 2019)
Photo de madame la députée Annie Vidal

Annie Vidal

Membre du groupe La République en Marche

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Photo de monsieur le député Pierre Cabaré

Pierre Cabaré

Membre du groupe La République en Marche

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Photo de madame la députée Emmanuelle Fontaine-Domeizel

Emmanuelle Fontaine-Domeizel

Membre du groupe La République en Marche

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Photo de madame la députée Laurianne Rossi

Laurianne Rossi

Membre du groupe La République en Marche

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Photo de monsieur le député Patrick Vignal

Patrick Vignal

Membre du groupe La République en Marche

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Après l’alinéa 5, insérer les deux alinéas suivants :

« L’insémination ou le transfert des embryons d’un des membres du couple décédé n’est possible qu’au minimum six mois après le décès d’un des membres du couple et au maximum dix-huit mois après son décès.

« L’accord exprès du conjoint décédé devra avoir été préalablement recueilli par acte notarié. »

Exposé sommaire

Dans le cadre de l’ouverture de la PMA post-mortem, l’encadrement de cette pratique permet de s’assurer que la PMA n’est pas engagée contre le gré de l’ex conjoint et que cette démarche ne soit pas une substitution émotionnelle à l’être aimé.

Les délais retenus sont ceux proposés par le Conseil d’État dans son rapport « Révision de la loi de bioéthique : quelles options pour demain ? » du 28 juin 2018.