Fabrication de la liasse
Retiré
(mercredi 11 septembre 2019)
Photo de madame la députée Claire Colomb-Pitollat
Photo de monsieur le député Jean-François Cesarini
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de madame la députée Mireille Robert
Photo de monsieur le député Stéphane Trompille
Photo de monsieur le député Bertrand Sorre
Photo de madame la députée Céline Calvez
Photo de madame la députée Alexandra Valetta Ardisson
Photo de monsieur le député Didier Martin
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Stéphane Claireaux

À l’alinéa 5, supprimer les mots :

« le décès d’un des membres du couple, ».

Exposé sommaire

En l’état, le texte maintient l’impossibilité pour un couple de bénéficier d’une assistance médicale à la procréation en cas de décès de l’un des membres du couple. Ainsi que l’a indiqué le Conseil d’Etat dans son avis sur le projet de loi, l’AMP devient inaccessible si les gamètes proviennent d’un homme décédé ou des embryons conservés par un couple dont l’homme est décédé. Une femme dont l’époux est décédé ne peut donc pas poursuivre le processus avec les gamètes de ce dernier ou les embryons du couple, alors qu’elle sera autorisée à réaliser une AMP seule, avec tiers donneur.

Par souci de cohérence, cet amendement vise donc à autoriser le transfert d’embryons et l’insémination post-mortem.