Fabrication de la liasse
Rejeté
(vendredi 4 octobre 2019)
Photo de madame la députée Sophie Errante
Photo de madame la députée Laetitia Avia
Photo de madame la députée Blandine Brocard
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de madame la députée Marie Lebec
Photo de madame la députée Laurianne Rossi
Photo de monsieur le député Lénaïck Adam
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Valérie Gomez-Bassac
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de madame la députée Aude Bono-Vandorme
Photo de monsieur le député François Jolivet
Photo de madame la députée Géraldine Bannier

Après le troisième alinéa de l’article L. 1232‑1 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Si la personne majeure a fait connaître de son vivant par tout moyen écrit son souhait de réaliser un don d’organes après son décès, il ne peut y être fait obstacle ».

Exposé sommaire

Le don d’organes et de tissus est une nécessité absolue et permet de sauver de nombreuses vies chaque année dans notre pays.

La loi dispose que nous sommes tous présumés donneurs, sauf en cas de refus exprimé par inscription au registre prévu à cet effet. Néanmoins, la responsabilité portée par les proches de la personne décédée dans un moment de grande douleur rend ce choix extrêmement difficile, y compris lorsque la personne avait clairement fait connaître son orientation.

Cet amendement vise donc à permettre de soulager les proches d’une décision toujours complexe.