Fabrication de la liasse
Rejeté
(vendredi 18 octobre 2019)
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de monsieur le député Jean-Jacques Ferrara
Photo de madame la députée Constance Le Grip
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de monsieur le député Antoine Savignat

Supprimer les alinéas 17 et 18.

 

Exposé sommaire

Cet article prévoit de borner dans le temps le crédit d’impôt défini par l’article 244 quater M du Code général des impôts en le limitant aux heures de formation effectuées jusqu’au 31 décembre 2022.

Or, ce crédit d’impôt est dédié aux chefs de très petite entreprise.

L’acte I des réformes du Gouvernement a mis l’accent sur le développement de l’emploi et de la formation professionnelle. Les chefs de très petite entreprise ont le droit et le besoin de se former. Dans le cas où ils réussissent à l’organiser, cela implique qu’ils délaissent momentanément le pilotage de leur activité. Cela a un coût.

Le principe d’indemniser ces chefs d’entreprise, sous la forme d’un crédit d’impôt, du temps passé en formation qu’ils ne peuvent pas consacrer à leur activité est légitime.

L’objet du présent amendement est de maintenir cette indemnisation.

Les entreprises artisanales, commerciales ou libérales ne bénéficient pas tant d’aides directes. Il est essentiel de maintenir des mesures qui soutiennent la formation de leurs dirigeants.