Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député M'jid El Guerrab
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de madame la députée Jeanine Dubié
Photo de madame la députée Frédérique Dumas
Photo de monsieur le député Yannick Favennec-Bécot
Photo de madame la députée Sandrine Josso
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de madame la députée Sylvia Pinel
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de monsieur le député Philippe Vigier

I. – Après l'alinéa 1, insérer les deux alinéas suivants :

« 1° AA À l'ensemble des articles, toutes les occurrences des mots : « conseillers consulaires »  sont remplacés par les mots : « élus consulaires » ;

« 1° A À l'ensemble des articles, toutes les occurrences des mots : « conseiller consulaire »  sont remplacés par les mots : « élu consulaire ; ».

II. – En conséquence, à l’alinéa 3, substituer aux mots :

« local des Français de l’étranger »

le mot :

« consulaire ».

III. – En conséquence, à l’alinéa 6, substituer aux mots :

« locaux des Français de l’étranger »

le mot :

« consulaire ».

IV. – En conséquence, supprimer l’alinéa 7.

Exposé sommaire

L’effectivité de la représentation des Français de l’étranger est un enjeu essentiel. La fonction de « conseillers consulaires » a ainsi été créée par la loi n° 2013‑659 du 22 juillet 2013 relative à la représentation des Français établis hors de France.

Néanmoins, cette dénomination ne permet pas de distinguer clairement les agents publics qui sont nommés et qui travaillent au sein du Consulat de ceux qui sont élus au suffrage universel pour répondre aux attentes de l’ensemble des deux millions de ressortissants français ayant choisi de s’établir à l’étranger.

L’expression « élus consulaires » permettrait de mettre fin à cette situation source de confusion et de ralentissement des démarches administratives tout en reflétant mieux la réalité du travail de terrain réalisé à l’étranger. S’agissant de l’expression « élus locaux des français de l’étranger » adoptée en commission, les auteurs de cet amendement estiment que la composante « consulaire » est importante, car même si ces élus ne travaillent pas directement au sein du consulat, ils représentent un intermédiaire déterminant entre les ressortissants et l’administration.