Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Jean-Louis Thiériot
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Maxime Minot
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Thibault Bazin

Après le premier alinéa du I de l’article L. 541‑3 du code de l’environnement, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Les images issues d’un dispositif de vidéoprotection ont force probante pour identifier le producteur ou détenteur de déchets. »

Exposé sommaire

En matière de dépôts sauvages, apporter la preuve de l’identification des déposants de déchets est souvent complexe. Si la vidéoprotection peut avoir un effet dissuasif, cela n’est pas toujours le cas. Il arrive fréquemment que l’infraction soit filmée par une caméra de vidéprotection.

Cependant, à ce jour, il est impossible d’utiliser les images de vidéo-protection pour identifier et verbaliser l’auteur d’un dépôt sauvage : si la vidéo sert pour verbaliser, le déposant peut contester l’utilisation de ce moyen de preuve.

C’est pourquoi cet amendement invite à donner à la vidéoprotection force-probante pour identifier les contrevenants.