Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Rémi Delatte

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Actuellement, la situation financière et budgétaire des établissements de santé est désastreuse. Les assurés quant à eux payent un ticket modérateur élevé et de manière très inégale selon les établissements. Il est donc compréhensible de vouloir réformer ce dernier et de mettre en place une nomenclature simplifiée et nationale.

Cependant, la base des tarifs journaliers de prestations (TJP) est fortement liée aux prévisions de recettes et donc au budget des établissements de santé publics et à but non lucratif. Ces derniers ne peuvent donc, sans étude d’impact ni délai accordé, envisager les conséquences de cette pérennisation du système de calcul du ticket modérateur sur la base des TJP.

De plus, cette extension du dispositif, contrairement à ce que pourrait laisser penser l’exposé des motifs, se fait également à tous les établissements de santé, contrairement aux engagements pris par le Gouvernement.

Trop d’incohérences et de flous persistent pour que cette réforme soit appliquée telle quelle.