Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Éric Pauget

Un mécanisme de certificats d’incorporation de matière recyclée est mis en place à titre expérimental pour certains produits et matériaux. Les catégories de produits et matériaux concernés ainsi que la durée d’expérimentation sont déterminées par voie réglementaire, après consultation des représentants des secteurs concernés.

 

Exposé sommaire

Le critère économique est central dans le développement de l’incorporation. Lorsque le cours des matières premières fossiles diminue, la demande en MPiR baisse. La pérennité de l’économie circulaire est alors menacée. Par ailleurs, la contrainte seule ne peut être efficace et pourrait menacer la compétitivité économique des entreprises françaises. Compétitivité des entreprises et économie circulaire ne doivent pas s’opposer.

Un mécanisme économique incitatif permettrait de répondre à ces deux impératifs : décorréler la variation des cours des matières premières fossiles de la demande en MPiR ainsi que la préservation de la compétitivité des entreprises. A titre d’exemple, l’application des certificats d’économie d’énergie (CEE) ou des certificats d’économie de produits phytosanitaires (CEPP) est particulièrement pertinente du fait de la dynamique de marché qu’elle crée, des résultats apportés dans le domaine de l’énergie et de l’agriculture, et du coût neutre pour l’État.