Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Nadia Ramassamy

Nadia Ramassamy

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Photo de monsieur le député Gilles Lurton

Gilles Lurton

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Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine

Emmanuelle Anthoine

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Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras

Valérie Bazin-Malgras

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Photo de monsieur le député Robin Reda

Robin Reda

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Photo de madame la députée Émilie Bonnivard

Émilie Bonnivard

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Photo de monsieur le député Arnaud Viala

Arnaud Viala

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Photo de monsieur le député Éric Pauget

Éric Pauget

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Photo de monsieur le député Michel Vialay

Michel Vialay

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Après l’alinéa 19, insérer l’alinéa suivant : 

« Dans les départements et collectivités d’outre-mer, le secrétariat général aux affaires régionales de la préfecture procède à l’identification des non-contributeurs aux éco-organismes. Il forme une équipe composée d’un pilote du secrétariat général aux affaires régionales, d’un référent de l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, d’un référent des douanes et d’un inspecteur des installations classées pour la protection de l’environnement, en coopération avec un référent de la plate-forme inter-rep et de toute personnalité qualifiée estimée nécessaire à la bonne réalisation de cette tâche. Les douanes fournissent les données relatives aux importations passées, l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie fournit la liste des contributeurs déclarés et le référent inter-rep contribue aux hypothèses de travail relatives au traitement des flux. Un secrétariat réduit peut mettre en œuvre les procédures de base de demandes de renseignements et de relances auprès des non déclarants potentiels ».

Exposé sommaire

La mise en place des filières REP à dans les territoires ultramarins rencontre plusieurs difficultés, notamment dans l’identification des non-contributeurs aux éco-organismes.En effet, ces derniers ne disposent pas de l’autorité administrative nécessaire pour remplir cette fonction dans un contexte d’économie parfois informelle.Les sources de données fiables existent pourtant au niveau des autorités douanières.

 Ainsi, l’ADEME recevant les données des contributeurs des éco-organismes, le rapprochement avec les données issues des importations/exportations des services douaniers permettrai d’établir les redevables non identifiés. Or, une équipe composée d’un pilote du SGAR, d’un référent à l’ADEME, d’un référent aux Douanes et d’un Inspecteur des Installations Classées à la Protection de l’Environnement à la DEAL pourrait résoudre le problème et permettre à l’État d’exercer la responsabilité de la bonne marche du système, en coopération avec un référent de la plateforme inter-REP qui aura la charge de fournir les hypothèses techniques relatives au traitement des flux.