Fabrication de la liasse

Amendement n°AC1125

Déposé le jeudi 27 février 2020
Discuté
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller

Virginie Duby-Muller

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Photo de monsieur le député Frédéric Reiss

Frédéric Reiss

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Photo de madame la députée Émilie Bonnivard

Émilie Bonnivard

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Photo de madame la députée Bérengère Poletti

Bérengère Poletti

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Photo de monsieur le député Pierre Vatin

Pierre Vatin

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Photo de monsieur le député Maxime Minot

Maxime Minot

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Photo de madame la députée Josiane Corneloup

Josiane Corneloup

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Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier

Jean-Marie Sermier

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Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras

Valérie Bazin-Malgras

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Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine

Emmanuelle Anthoine

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Photo de monsieur le député Ian Boucard

Ian Boucard

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Photo de monsieur le député Vincent Rolland

Vincent Rolland

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I. – À l’alinéa 82, après la référence :

« 1 »,

insérer la référence :

« et au 2 ».

II. – En conséquence, à l’alinéa 84, après chaque occurrence de la référence :

« 1 »,

insérer les références :

« et au 2 ».

Exposé sommaire

Cet amendement propose de laisser le choix à l’ARCOM concernant l’interlocuteur à privilégier. En pratique, selon les cas, l’hébergeur sera mieux à même d’intervenir directement sur le contenu que le fournisseur d’accès à internet ou le fournisseur de noms de domaine.

Le Conseil d’Etat a rappelé, dans son avis du 16 mai 2019 relative à la proposition de loi sur la haine en ligne que si le juge fait droit à une demande d’interdiction de toute reprise totale ou partielle de ce qu’il aura interdit, l’autorité administrative pourrait intervenir auprès d’un hébergeur en indiquant que tout ou partie des données qu’il stocke relève de cette interdiction et en lui demandant de procéder immédiatement à son retrait. Les acteurs du secteur semblent vouloir privilégier cette approche, permettant selon les cas de procéder à un retrait du contenu précis, au lieu d’empêcher l’accès à la totalité du site internet concerné, limitant ainsi l’impact de la mesure ordonnée par l’ARCOM sur les libertés d’expression et d’information.