Fabrication de la liasse

Amendement n°126

Déposé le mercredi 9 septembre 2020
Discuté
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de madame la députée Chantal Jourdan
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de monsieur le député Philippe Naillet
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pirès Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Le présent amendement des députés Socialistes et apparentés vise à maintenir le Conseil national de l’aide aux victimes.

Comme cela avait été justement rappelé par les sénateurs socialistes, le Gouvernement s’était engagé à réactiver cette instance lors de l’examen de la loi du 3 août 2018 visant à garantir la présence des parlementaires dans certains organismes extérieurs au Parlement. Aucune démarche en ce sens n’a été menée.

La création d’une délégation interministérielle et d’un comité interministériel de l’aide aux victimes a certes permis une nette amélioration du pilotage de ces questions au niveau du Gouvernement et des administrations centrales mais ne saurait remplacer en totalité l’intérêt du CNAV. En effet, celui-ci est également une instance d’échanges entre les représentants d’associations œuvrant dans le domaine de l’aide aux victimes, des personnalités qualifiées, le directeur général du fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions et des parlementaires sur ces questions.

Il apparait donc pertinent de maintenir le Conseil comme instance de dialogue et d’échanges entre l’État et ses membres.