Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Anne-Laure Cattelot
Photo de monsieur le député Vincent Ledoux
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Jean-Baptiste Moreau
Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi
Photo de madame la députée Barbara Bessot Ballot
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de monsieur le député Xavier Batut
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de monsieur le député Daniel Labaronne
Photo de madame la députée Fadila Khattabi
Photo de monsieur le député Vincent Rolland
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de madame la députée Jacqueline Dubois
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député Fabrice Brun

Lors du contrôle d’une entreprise et notamment d’une exploitation agricole, des anomalies mineures peuvent être constatées. Celles-ci peuvent être définies par leur caractère de moindre importance par rapport aux anomalies majeures qui sont passibles de sanctions.

Si elles ne constituent pas une infraction, et qu’elles ne remettent pas en cause la totalité d’un contrôle, les anomalies mineures restent une entrave au processus administratif et doivent donc être corrigées.

Il est demandé à ces entreprises de les corriger dans un délai raisonnable. Le cas échéant, pouvoir est même donné à l’administration de procéder elle-même à la correction de ces anomalies mineures, sans sanction pour la personne contrôlée.

La liste et la portée de ces anomalies mineures sont définies par décret.

Exposé sommaire

Certaines anomalies relevées lors du contrôle ne sont pas de nature à remettre en cause l’intégralité du contrôle. Le parallèle peut être fait avec le contrôle technique des véhicules : certains défauts mineurs peuvent être décelés et sont corrigés sans que la voiture ne soit recalée au contrôle technique.

Il en va de même ici pour les entreprises ou exploitations agricoles : des anomalies, dont la nature et la portée sont fixées par décret, peuvent être constatées sans que cela n’occasionne une non- validation du contrôle.

Deux options s’ouvrent alors : dans certains cas l’administration peut elle-même apporter les corrections (par exemple dans le cas d’erreur de codage suite aux évolutions normatives...), dans d’autres cas l’entrepreneur ou l’exploitant agricole doit procéder à la correction et en apporter la preuve à l’administration.