Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sereine Mauborgne
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de madame la députée Sophie Beaudouin-Hubiere
Photo de monsieur le député Damien Adam
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Photo de monsieur le député Éric Bothorel
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Photo de madame la députée Blandine Brocard
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de madame la députée Anne-Laure Cattelot
Photo de madame la députée Émilie Chalas
Photo de madame la députée Christine Le Nabour
Photo de madame la députée Bérangère Couillard
Photo de madame la députée Sophie Errante
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
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Photo de madame la députée Catherine Kamowski
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Photo de madame la députée Monica Michel-Brassart
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de monsieur le député Rémy Rebeyrotte
Photo de monsieur le député Buon Tan
Photo de monsieur le député Pierre Venteau

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Cet article, adopté via un amendement sénatorial a pour objet d’autoriser les médecins anatomopathologistes à entrer au capital des laboratoires de biologie médicale.

Concernant l’implication des spécialistes en anatomie et cytologie pathologiques (ACP) au sein des laboratoires de biologie médicale (LBM), il convient de préciser qu’ils peuvent d’ores-et-déjà être co-responsables et être associés en industrie. 

Toutefois, la question de leur intégration au sein du capital des LBM, elle, n’est pas souhaitable car leur qualité d’associé emporterait la possibilité d’être responsable de laboratoire ce qui pourrait conduire à ce que des laboratoires de biologie médicale ne disposent d’aucun biologiste en charge de leur activité.

Or, ce point constitue un point fondamental des exigences de qualité qui pèsent sur les laboratoires. Il y aurait donc lieu de sécuriser ce point, ce qui ne peut se faire sans concertation.

Si le Gouvernement n’a pas d’opposition de principe, il ne paraît pas possible d’avaliser une modification aussi structurante pour l’outil de travail des biologistes sans débat approfondi avec les professions concernées, en particulier sur la fraction du capital qui pourrait être ouverte. 

C’est pourquoi il est proposé de supprimer cet article.