Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Matthieu Orphelin
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de madame la députée Yolaine de Courson
Photo de madame la députée Fiona Lazaar
Photo de madame la députée Frédérique Tuffnell
Photo de monsieur le député M'jid El Guerrab
Photo de madame la députée Annie Chapelier
Photo de madame la députée Delphine Bagarry
Photo de madame la députée Sandrine Josso
Photo de madame la députée Frédérique Dumas
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de monsieur le député Guillaume Chiche
Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de madame la députée Bénédicte Pételle
Photo de madame la députée Albane Gaillot
Photo de madame la députée Valérie Petit
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de monsieur le député Jean-Bernard Sempastous
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de madame la députée Barbara Pompili
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman

À l’alinéa 3, après le mot :

« législatives »,

insérer les mots :

« , à l’exception de celles concernant la transition écologique, la protection de l’environnement et de la biodiversité et l’économie circulaire, ».

Exposé sommaire

Cet amendement a pour objet de restreindre l’habilitation à prendre par ordonnance des mesures permettant de reporter au plus tard jusqu’au 1er janvier 2022 la date d’entrée en vigueur ou d’application de dispositions législatives.

Le Gouvernement s’est engagé en commission à supprimer l’habilitation à légiférer par ordonnance au profit de dispositions législatives précises, et à ne revenir sur aucun engagement en matière de transition écologique et notamment d’économie circulaire. Cet amendement est donc déposé dans l’attente de la nouvelle rédaction qui devrait être proposée par le Gouvernement.

Telle qu’elle est pour l’instant inscrite dans le texte, cette habilitation permettrait notamment de repousser la mise en oeuvre de dispositions législatives contribuant à la transition écologique, laquelle est pourtant indispensable et urgente puisque l’on sait que ne pas mener cette transition au plus vite veut dire préparer de nouvelles crises. Il est par exemple question de repousser l’entrée en vigueur de dispositions de la loi économie circulaire. Or cette loi est nécessaire pour préparer une transition vers une économie plus résiliente. Il est donc particulièrement nécessaire de ne pas repousser son entrée en vigueur, ni celle d’autres dispositions législatives en matière de transition écologique et de protection de l’environnement.