Fabrication de la liasse
Rejeté
(mercredi 1 juillet 2020)
Photo de monsieur le député Pascal Bois
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de monsieur le député Xavier Batut
Photo de madame la députée Anne-Christine Lang
Photo de monsieur le député Stéphane Buchou
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de madame la députée Alice Thourot
Photo de monsieur le député Bertrand Bouyx
Photo de monsieur le député Pierre Cabaré
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de monsieur le député François Cormier-Bouligeon
Photo de madame la députée Danièle Cazarian
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de monsieur le député Rémy Rebeyrotte
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de madame la députée Cathy Racon-Bouzon
Photo de monsieur le député Stéphane Claireaux

I. – Au 1° du VI de l’article 220 octies du code général des impôts, le montant : « 1,1 million » est remplacé par le montant : « 2 millions ».

II. – Le I n’est applicable qu’aux sommes venant en déduction de l’impôt dû.

III. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle aux droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

Exposé sommaire

Cet amendement propose de renforcer le crédit d’impôt phonographique pour favoriser la reprise du marché de la musique enregistrée en accompagnant les investissements des labels au profits des talents émergents.

Il vise à porter de 1,1 à 2,0M€ le plafond des dépenses par entreprise et par exercice.

La hausse du taux et du plafond par entreprise permettra d’améliorer à la fois l’économie et le nombre des projets de nouveaux talents francophones produits par les entreprises du secteur.

La montée en puissance du CIPP ne se fera pas au détriment des finances de l’État. Un euro de crédit d’impôt investi représente en moyenne 2,46 € de recettes fiscales et sociales (Etude BearingPoint pour le MCC datant de juillet 2018).