Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de madame la députée Jeanine Dubié
Photo de monsieur le député Yannick Favennec-Bécot
Photo de madame la députée Sandrine Josso
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Jean Lassalle
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de madame la députée Sylvia Pinel
Photo de monsieur le député Philippe Vigier

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Cette proposition de loi crée un régime ad hoc avant même qu’une évaluation ait été menée en France sur les risques réels de récidive des personnes condamnées pour des actes terroristes.

A titre d'exemple, une étude menée en Belgique révèle que le taux de récidive des personnes condamnées pour des actes terroristes est très faible par rapport à celui des détenus dits « classiques ».

Ce résultat totalement contre-intuitif, à la fois pour l’opinion publique et pour le monde judiciaire et les services de sécurité, pousse les auteurs de l'amendement à inviter la représentation nationale et le Gouvernement à faire preuve de prudence.

C'est pourquoi, la mise en place de ces mesures de sureté, plus contraignantes que le FIJAIT déjà dénoncé, s'avère prématurée à ce stade ; d'où le dépôt de cet amendement visant à supprimer le dispositif.