Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Michèle Victory
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud

Après l’alinéa 7, insérer l’alinéa suivant : 

« IV bis. – Les temps de décharge non réalisés sont rattrapés sur l’année. »

Exposé sommaire

Cet amendement du groupe Socialistes et apparentés vise à sanctuariser les temps de décharge.

Près de la moitié des directeurs consultés par le MES déclarent passer de 11h à 20h aux tâches de direction. 44 % y passent plus de 20 heures par semaine. Ces fonctions empiètent sur leur temps d’enseignement. 91 % déclarent que lorsqu’ils sont en classe ils sont souvent interrompus pour répondre à une sollicitation liée à leur fonction de direction. Le temps est ainsi une priorité chez les directeurs d’école.

Et pourtant, dans la réalité, faute de remplacement, ce temps de décharge n’est pas toujours réalisable. Il est donc essentiel de sanctuariser ces temps de décharge afin de s’assurer qu’ils soient rattrapés, sur l’année, s’ils n’ont pu avoir lieu.