Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Xavier Breton
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de monsieur le député Guy Teissier
Photo de monsieur le député Gilles Lurton
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de madame la députée Blandine Brocard
Photo de madame la députée Constance Le Grip
Photo de monsieur le député Julien Aubert

I. – Supprimer les alinéas 1 à 10.

I. – En conséquence, supprimer l’alinéa 12.

III. – En conséquence, supprimer les alinéas 18 à 21.

IV. – En conséquence, supprimer les alinéas 27 à 30.

Exposé sommaire

Ces alinéas sont relatifs aux cellules souches pluripotentes induites. Il est regrettable que l’utilisation de ces cellules iPS soit envisagée uniquement dans le projet de loi pour une manipulation qui n’est pas éthique, à savoir la création de gamètes artificiels.

Les cellules iPS sont cependant une alternative éthique efficace aux cellules souches embryonnaires humaines. La proposition de les différencier en gamètes le démontre. Ainsi, le Gouvernement aurait dû en tirer les conséquences qui s’imposent. A ce titre, il aurait dû supprimer le régime de recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines pour fixer comme priorité de politique publique le développement de la recherche sur les cellules souches pluripotentes induites. Tel n’a pas été le cas. De manière invraisemblable, le Gouvernement a décidé de privilégier les alternatives non éthiques. Il a d’ailleurs décidé de faciliter la recherche sur les cellules souches embryonnaires en supprimant le régime d’autorisation sous conditions.