Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Marie-George Buffet
Photo de madame la députée Elsa Faucillon
Photo de monsieur le député Moetai Brotherson
Photo de monsieur le député Alain Bruneel
Photo de monsieur le député André Chassaigne
Photo de monsieur le député Pierre Dharréville
Photo de monsieur le député Jean-Paul Dufrègne
Photo de monsieur le député Sébastien Jumel
Photo de madame la députée Manuéla Kéclard-Mondésir
Photo de monsieur le député Jean-Paul Lecoq
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Nilor
Photo de monsieur le député Stéphane Peu
Photo de monsieur le député Fabien Roussel
Photo de monsieur le député Gabriel Serville
Photo de monsieur le député Hubert Wulfranc

Supprimer l'alinéa 223.

Exposé sommaire

La création d’un tel centre inquiète beaucoup. Qui sélectionne les experts ? Selon quels critères ? Au Royaume-Uni, l’indépendance du Sciences media centres n’est absolument pas reconnue et est soumis à des influences mettant en causse sa probité (centre financé par de nombreuses multinationales notamment).

Plutôt que de créer une telle structure, le renforcement du journalisme scientifique est une priorité. Un journaliste scientifique correctement formé et qui surtout à les moyens de remplir ses missions n’a pas besoin d’un tel centre, d’un tel intermédiaire qui lui « mâche » le travail. De plus, on ne peut couper les moyens à l’audiovisuel public, fermer des chaines comme c’est le cas actuellement et en même temps demander une plus grande production de documentaires scientifiques.

Ainsi, la création d’un tel centre comporte trop de risques par rapport aux gains que cela peut produire.