Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Gérard Cherpion
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de madame la députée Nathalie Porte
Photo de monsieur le député Vincent Rolland

À l’alinéa 9, après la référence :

« L. 4211‑1, »,

insérer les mots 

 : « et avec l’autorisation de l’ordre national des pharmaciens, ».

Exposé sommaire

Dès l’annonce du présent projet de loi en février dernier, les pharmaciens ont de façon unanime exprimé leurs vives inquiétudes face à la vente en ligne de médicaments. Bien que celle-ci soit réglementée (elle est en principe réservée aux pharmaciens titulaires d’une officine ou aux pharmaciens gérants d’une pharmacie mutualiste/de secours minière), cela signifie néanmoins la possibilité pour des géants du commerce en ligne de s’associer avec une ou plusieurs officines leur permettant ainsi de vendre des médicaments sur Internet. En d’autres termes, et plus concrètement, cela condamnerait la profession du fait d’une concurrence déloyale.

Afin d’éviter cette association entre géants du commerce en ligne avec une ou plusieurs officines, il est souhaitable que l’ouverture et l’exploitation de site internet de commerce électronique de dispensation et de vente de médicaments au détail par une officine soit autorisée et contrôlée par l’Ordre National des Pharmaciens.

L’Ordre pourrait ainsi réguler le fonctionnement de ces sites et serait ainsi à même de détecter toute tentative d’infiltration d’une entreprise de commerce en ligne sur le marché de la vente de médicaments via Internet.

L’Ordre pourrait ainsi réguler et contrôler le fonctionnement de ces sites et s’assurer que derrière celles-ci ce ne se cachent pas des entreprises du commerce en ligne.