Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de madame la députée Chantal Jourdan
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de monsieur le député Philippe Naillet
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

Compléter l’alinéa 10 par les mots :

« , à l’optique et aux rétroviseurs ».

Exposé sommaire

Cet amendement du groupe Socialistes et apparentés propose rétablir le dispositif qui avait été adopté dans le cadre de la loi d’orientation des mobilités – article 110-, mais censuré par le Conseil constitutionnel pour cavalier législatif. Dans la continuité de ses combats en matière de concurrence et de ses engagements en faveur du pouvoir d’achat des Français-es, le groupe Socialistes et apparentés souhaite, par cet amendement, lutter contre la cherté des pièces détachées automobiles.

Cet article, inspiré d’un amendement du groupe Socialistes et apparentés lors de la discussion de la LOM, avait pour objectif d’ouvrir à la concurrence le marché des pièces visibles automobiles. Il s’inscrivait dans la droite ligne des déclarations du Premier ministre qui, en marge du dixième anniversaire de la création de l’Autorité de la concurrence, s’était engagé à libéraliser le secteur des pièces détachées automobiles en indiquant vouloir mettre un terme à l’exclusivité dont bénéficie le constructeur pour la vente des pièces détachées visibles.

Lors de l’examen du présent texte en Commission, un amendement n° 528 a été adopté en ce sens mais l’adoption d’un sous-amendement a conduit à retirer du champ de l’ouverture à la concurrence au 1er janvier 2021 deux segments essentiels du marché : les pièces d’optique et les rétroviseurs.