Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Matthieu Orphelin
Photo de madame la députée Delphine Batho
Photo de madame la députée Delphine Bagarry
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de madame la députée Annie Chapelier
Photo de monsieur le député Guillaume Chiche
Photo de madame la députée Yolaine de Courson
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Paula Forteza
Photo de madame la députée Albane Gaillot
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Frédérique Tuffnell
Photo de monsieur le député Cédric Villani

Avant le 31 décembre 2020, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les actions et démarches engagées par la France auprès de la Commission européenne, au sein du Conseil européen et du Conseil de l’Union européenne afin de mettre fin aux dérogations auxquelles ont recours des États membres en utilisant les dispositions de l’article 53 règlement (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques pour ne pas respecter les règlements d’exécution (UE) n°2018/783, n°2018/784 et n°2018/785 modifiant le règlement d’exécution (UE) n°540/2011.

Exposé sommaire

La France doit pouvoir porter au niveau européen la nécessité d’interdire définitivement les néonicotinoïdes. L’Union européenne autorise encore l’utilisation de certains néonicotinoïdes ou de produits phytosanitaires ayant des modes d’action identiques, notamment le sulfoxaflor et le flupyradifurone. Ces molécules, interdites en France ont des effets destructeurs sur la biodiversité, une rémanence élevée et se diffusent dans les aliments. Pour des raisons de santé publique et de protection de l’environnement, il est nécessaire que la France porte cette interdiction totale au niveau de l’Union.