Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de madame la députée Delphine Bagarry
Photo de madame la députée Delphine Batho
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de madame la députée Annie Chapelier
Photo de monsieur le député Guillaume Chiche
Photo de madame la députée Yolaine de Courson
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Paula Forteza
Photo de madame la députée Albane Gaillot
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de monsieur le député Matthieu Orphelin
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Frédérique Tuffnell
Photo de monsieur le député Cédric Villani

Supprimer les alinéas 6 à 9.

Exposé sommaire

La réautorisation des néonicotinoïdes interdits en Europe par le biais de dérogations étant nulle et non avenue, il n’y a donc pas lieu de mettre en place un comité de suivi.

En outre, au moment où le Gouvernement, au nom de la simplification, supprime de nombreux conseils et commissions préexistants dans la législation dans de nombreux domaines, ces dispositions interrogent.

Elles ont de plus été adoptées en Commission des Affaires Économiques par voie d’amendement parlementaire, en contradiction avec les dispositions de l’article 40 puisque le temps de travail des fonctionnaires, délégué interministériel, représentants des ministères, représentants des organismes de recherche publique, n’est assurément pas bénévole.

Enfin, en ce qui concerne la nécessité d’accompagner la filière betterave à sucre dans une stratégie de transformation agro-écologique, il serait pertinent de s’appuyer sur l’instance de concertation et de suivi préexistante et définie à l’article L. 253‑6 du code rural. Une disposition législative supplémentaire n’est donc pas nécessaire pour créer dans ce cadre, le cas échéant, un comité de suivi spécifique à l’accompagnement des évolutions agronomiques de la filière betterave sucrière.