Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
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Photo de monsieur le député Olivier Falorni
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Jean Lassalle
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de madame la députée Sylvia Pinel
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de monsieur le député Benoit Simian
Photo de madame la députée Martine Wonner

Supprimer les alinéas 4 à 6.

Exposé sommaire

Ces alinéas autorisent les officiers de police judiciaire à collecter et à traiter des empreintes et traces génétiques ou digitales et à avoir accès aux différents systèmes de vidéoprotection, sans autorisation préalable du procureur de la République.

Les auteurs de l'amendement s'interrogent sur le bien fondé d'instaurer cette forme d’autorisation générale et systématique du parquet, sans autorisation spécifique du procureur. En effet, sous prétexte de simplification, d'efficacité et de rapidité du côté du Procureur en l’occurrence, les principes fondamentaux d'intégrité de la personne physique sont mises à mal dans cet article.

En l'espèce, l’obligation pour l’OPJ de se référer au procureur de la République est une garantie en termes de droits fondamentaux de la personne physique qu'il convient de maintenir. Une fois de plus, plutôt que de renforcer les moyens, le choix est fait de modifier les procédures.