Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jacques Marilossian
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Françoise Dumas
Photo de madame la députée Sereine Mauborgne
Photo de madame la députée Natalia Pouzyreff
Photo de monsieur le député Mounir Belhamiti
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
Photo de monsieur le député Fabien Gouttefarde
Photo de madame la députée Alexandra Valetta Ardisson
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de monsieur le député Jean-Michel Jacques

A la deuxième ligne de l’alinéa 4, substituer aux mots : « de la défense », les mots : « fondamentaux de la Nation ».

Exposé sommaire

La commission de la défense et des forces armées veille à ce que le futur dispositif réponde aux intérêts fondamentaux de la Nation mentionnés dans le code de la sécurité intérieure.

L’article L. 811-1 du code de la sécurité intérieure est très clair : « La politique publique de renseignement concourt à la stratégie de sécurité nationale ainsi qu'à la défense et à la promotion des intérêts fondamentaux de la Nation. Elle relève de la compétence exclusive de l'État. »

De même, lors de l’examen en 2017 du projet de loi renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme (SILT)  - dont la commission de la défense et des forces armées avait été saisie pour avis -, le dispositif de surveillance de certaines communications hertziennes avait été adopté aux seules fins des « intérêts fondamentaux de la Nation » mentionnés à l’article L. 811-3 du code de la sécurité intérieure.

Il convient donc de préciser que les intérêts du futur dispositif sont ceux mentionnés dans le code de la sécurité intérieure.