- Texte visé : Projet de loi de finances pour 2018, n° 235
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Toutes commissions
- Mission visée : Enseignement scolaire
Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Enseignement scolaire public du premier degré | 0 | 0 |
Enseignement scolaire public du second degré | 0 | 0 |
Vie de l'élève | 250 000 | 0 |
Enseignement privé du premier et du second degrés | 0 | 250 000 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale | 0 | 0 |
Enseignement technique agricole | 0 | 0 |
TOTAUX | 250 000 | 250 000 |
SOLDE | 0 |
Le groupe Nouvelle gauche a récemment reçu à l’Assemblée nationale les syndicats de la médecine scolaire. Depuis 2006 le nombre de médecins de l’éducation nationale n’a cessé de diminuer et le faible nombre de stagiaires du concours, une vingtaine par an, ne permet pas de réduire l’hémorragie.
Cette diminution continue du nombre des MEN, experts dans l’exercice de la médecine scolaire, est un frein à la déclinaison de la politique de santé à l’école et menace le devenir de la profession.
Lors de leur audition, les syndicats ont notamment souligné les difficultés matérielles de plus en plus grande auxquelles ils font face en raison des territoires toujours plus grands que chaque médecin doit couvrir. Ainsi, c'est le cas des frais de déplacement.
C'est pourquoi par cet amendement nous proposons d'abonder le action 2 "santé scolaire" du programme 230 "vie de l'élève" de 250 000€ et de indiquerminuer d'autant les crédits du programme 139 "Enseignement privé du premier et second degrés".