- Texte visé : Texte de la commission sur le projet de loi, après engagement de la procédure accélérée, relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants (n°391)., n° 446-A0
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
À l’alinéa 2, substituer aux mots :
« d’une année universitaire »
les mots :
« de deux années universitaires ».
Les étudiants doivent pouvoir suspendre temporairement pour une année universitaire leur présence dans l’établissement afin d’exercer d’autres activités qui lui permettent d’acquérir des compétences.
Cet amendement propose d’étendre la durée maximale de suspension de la présence de l’étudiant à deux années universitaires afin de laisser plus de liberté aux étudiants dans la construction de leurs projets personnels ou professionnels.
Accorder plus de souplesse favorise l’ouverture d’esprit des étudiants et la possibilité pour eux de définir plus précisément leur projet professionnel.
Les étudiants doivent pouvoir décider librement de faire d’autres formations, d’aller étudier ou travailler à l’étranger, ou bien faire le choix d’acquérir une expérience professionnelle etc. Pour cela, un an de suspension n’est pas suffisant.
Deux ans sont nécessaires si l’étudiant souhaite par exemple faire une année de formation et deux stages d’une durée de 6 mois.