Fabrication de la liasse
Non soutenu
(vendredi 13 juillet 2018)
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva

Jean-Félix Acquaviva

Membre du groupe Non inscrit

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Jean-Philippe Nilor

Membre du groupe Gauche démocrate et républicaine

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Moetai Brotherson

Membre du groupe Gauche démocrate et républicaine

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M'jid El Guerrab

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Le premier alinéa de l’article 2 de la Constitution est complété par les mots : « , dans le respect des langues régionales qui appartiennent au patrimoine historique et culturel de la France. »

Exposé sommaire

L’officialisation de la langue française dans la Constitution qui a été introduite seulement en 1992 - il est important de le souligner - ne peut se traduire par une discrimination des autres langues originelles parlées sur le territoire.

C’est pourquoi, il est important de dépasser la simple acception patrimoniale des langues régionales, inscrite à l’article 75‑1 de la Constitution, en leur donnant une véritable base constitutionnelle.

En effet, bien que l’introduction des langues régionales par la réforme constitutionnelle de 2008 ait été bénéfique, celle-ci n’a été que symbolique et n’a pas permis une meilleure protection de ces langues.