Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Marjolaine Meynier-Millefert

Marjolaine Meynier-Millefert

Membre du groupe La République en Marche

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Photo de monsieur le député Pierre-Alain Raphan

Pierre-Alain Raphan

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Photo de monsieur le député Michel Delpon

Michel Delpon

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Photo de monsieur le député Hervé Pellois

Hervé Pellois

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Photo de monsieur le député Thierry Michels

Thierry Michels

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Photo de madame la députée Véronique Riotton

Véronique Riotton

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Photo de madame la députée Claire Colomb-Pitollat

Claire Colomb-Pitollat

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Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit

Jean-Luc Fugit

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Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy

Jean-Charles Colas-Roy

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Photo de madame la députée Martine Leguille-Balloy

Martine Leguille-Balloy

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Le premier alinéa du I de l’article L. 173‑2 du code de la construction et de l’habitation, dans sa rédaction résultant de l’ordonnance n° 2020‑71 du 29 janvier 2020 relative à la réécriture des règles de construction et recodifiant le livre Ier du code de la construction et de l’habitation, est complété par une phrase ainsi rédigée : « Ce seuil est fixé à 231 kilowattheures d’énergie primaire par mètre carré et par an à compter du 1er janvier 2030, à 150 kilowattheures d’énergie primaire par mètre carré et par an à compter du 1er janvier 2035, à 90 kilowattheures d’énergie primaire par mètre carré et par an à compter du 1er janvier 2040 et à 50 kilowattheures d’énergie primaire par mètre carré et par an à compter du 1er janvier 2045. »

Exposé sommaire

Le secteur du bâtiment représente 45 % des consommations énergétiques françaises et un quart des émissions de gaz à effet de serre. Le parc immobilier français comporte plus de 4 millions de passoires thermiques.

Si l’objectif de disparition des classes F et G du parc bâti français a été inscrit dans la loi, ce n’est pas le cas de toutes les autres classes énergétiques.

Ainsi, dans un esprit de lisibilité à long terme de nos objectifs cet amendement vise à échelonner jusqu’en 2050 nos objectifs de rénovation énergétique.

Les objectifs se doivent d’être toujours plus ambitieux. Ainsi, les classes énergétiques les moins efficaces doivent disparaitre au profit des classes les mieux notées.

Par ailleurs, le fait que ces objectifs soient chiffrés et clairement définis oblige les propriétaires à dès à présent entreprendre des rénovations ambitieuses et performante