Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Yves Hemedinger
Photo de madame la députée Sylvie Bouchet Bellecourt
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de monsieur le député Bernard Deflesselles
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Julien Ravier
Photo de monsieur le député Claude de Ganay

Substituer aux mots :

« à la moitié »

les mots :

« au cinquième ».

Exposé sommaire

Autoriser un niveau d’artificialisation en fonction de celle qui a été constatée par le passé constitue une prime aux collectivités ayant été les plus laxistes dans ce domaine. Cela prive cette disposition de son objet, sauf à fixer une proportion nettement inférieure.

Il est nécessaire de justifier l’artificialisation au regard des prévisions d’évolution de la population des collectivités territoriales concernées figurant dans les documents d’urbanisme, en cohérence avec les dynamiques d’évolution observées.

Par ailleurs, l’objectif qui figure dans le projet de loi d’une réduction d’au moins 50 % de l’artificialisation des sols sur le territoire est en contradiction avec l’objectif fixé par le Gouvernement et introduit par le plan national de la biodiversité en juillet 2018 du « zéro artificialisation nette ».  Ainsi, le « zéro artificialisation nette » doit prédominer.

Un objectif plus ambitieux est nécessaire. C’est pourquoi, il est proposé de limiter l’artificialisation à 20 % de ce qui a été fait précédemment.

Tel est l’objet du présent amendement.