- Texte visé : Texte de la commission sur le projet de loi, après engagement de la procédure accélérée, portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets (n°3875 rectifié)., n° 3995-A0
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
Compléter l’alinéa 11 par les mots :
« et favorisant le renouvellement forestier, l’agroforesterie, l’agrosylvopastoralisme, mais aussi les prairies et tout autre forme d’agriculture régénérative. »
Considérant les objectifs de la SNBC développant le puit de carbone forestier et des produits bois, mais aussi la valeur carbone intrinsèque de l’arbre poussée à travers le Plan de Relance pour favoriser le renouvellement forestier, l’agroforesterie, mais aussi l’agrosylvopastoralisme;
Considérant le puit de carbone stocké par les prairies;
Considérant que la foret et le bois doivent contribuer à plus de 70% de la neutralité carbone de la France d’ici 2050 selon la SNBC et nécessite en conséquence davantage de moyen au long terme;
Considérant le besoin de pérenniser et structurer la dynamique amorcée par le plan de relance sur 2 ans qui permet à la fois de favoriser les activités stockant du carbone tout en impliquant les entreprises à la sobriété et à la neutralité carbone dans une perspective à 2050;
L’Etat doit s’assurer qu’une part significative des moyens issus de la compensation carbone des entreprises bénéficie bien en secteur forêt-bois et agroforesterie sur le sol français et au delà au sein de l’UE. Cette application doit s’assoir sur ce nouveau cadre juridique permettant la compensation des émissions de CO2 générées par les compagnies aériennes.